La traversee du Rio de la Plata

C´est en traversant le rio de la plata en ferry que l´on est entré en Uruguay, a Colonia del Sacramento. Nous avons eu le grand honneur d´etre assis a coté de la fanfare du club de foot national de Montevideo.

Eva Peron et la CGT argentine

On est tombe par hasard sur la CGT argentine et un vieux militant peroniste nous a fait visite le bureau d´Eva Peron

Les fleurs et les oiseaux de la Costanera

Avant de partir pour Colonia del Sacramento, une belle ballade dans la reserve ecologique du bord du fleuve nous a permis de decouvrir des merveilles...

Au theatre Colón

Súper plan : Visite et concert gratuit au Theatre Colón... On a ecoute un concerto de Mozart et la 4eme Symphonie de Schumann (soyons honnetes : Certains ont entendu la musique de leur reve endormi)

Dans les rues de Buenos Aires

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Je n'aime pas manger trop picant parce que ca me fait suer et ensuite, ca me donne la desagreable impression d'avoir travaille

Sur les traces de Carlos Gardel

NOus avons cherche les traces de Carlos Gardel... Et nous les avons trouvees !!!

Sur la Costanera

Nous voulions aller nous promener au Parc de la memoire qui rend hommage aux 30000 víctimes de la dictature mais il etait ferme a cause des degats de la tempete des jours precedents. Nous avons donc longuement marche sur la Costanera en profitant du soleil.

Rendez vous Place de Mai

 

Sur la place de Mai, la place ou chaque jeudi se retrouvaient et se retrouvent encore les meres et les grand meres de disparus, nous retrouvons Marta et sa fille, exilees depuis 5 mois ici a cause du terrorisme d'etat en Colombie.

Maté et confiture de lait

Jacquot est un fervent buveur de maté et il n'a pas dérogé à son inclination. Du coup, il nous a fait goûté : C'est très amer, très bouillant, très spécial. Par ce temps de pluie et de froidure qui nous accompagne, on comprend la fascination pour cette boisson. On la comprend d'autant plus quand c'est accompagné d'un petit pot de confiture de lait !

Les chorizos de Freddy

Au marché de San Telmo, on a goûté aux chorizos de Freddy. Ca vaut le détour. Autant que la discussion aimable avec ce parillero heureux et ses verres de vin généreux.

Matinée cheminotte

Honneur aux ouvriers des chemins de fer ! Avec Chucho qui a travaillé dans les trains en Colombie et qui reste un amoureux invétéré des locomotives, on a passé une matinée ferroviaire : D'abord, visite de la gare de Retiro puis musée du rail argentin.

Le café de la Gare était assez époustouflant : Parquet, boiseries, stucks, balcons, marbres, lumières. Du style art déco qui vaut vraiment le détour. Par contre, le service du bar est aussi médiocre que la qualité des produits servis.

Un petit musée à la gloire des trains argentins. Intéressant pour la mémoire, intéressant aussi comme témoin de l'intérêt du gouvernement actuel pour la réhabilitation des voies et le développement du transport ferroviaire.

Visite de la Casa Rosada

Nous avons foulé les tapis des salons d'apparat du gouvernement de la République Argentine : Ces messieurs-dames y travaillent du lundi au vendredi et laissent le champ libre au bon peuple et aux touristes pendant la fin de semaine. Du coup, nous prenons des airs de diplomates populaires et saluons qui de droit :

Salutations émues au patriote José Marti

Un grand bonjour au Che

Pensée affectueuse pour Christina Kirchner qui traverse régulièrement ces lieux

Pourquoi la casa rosada est rose ? Parce qu'à l'époque, on la peignait au sang de boeuf qui résiste à l'humidité. Buenos Aires se situe sur l'embouchure du rio de la Plata et le palais présidentiel, près du fleuve. Avec les saucées qui nous tombent dessus, on confirme : Buenos Aires, c'est HUMIDE.

Honneur à San Martin

Comme il pleut des cordes à couper le cou d'un pendu, dès que l'on peut rentrer quelquepart, on pousse la porte. Du coup, on est rentré dans la cathédrale (l'ancienne maison du pape) et on s'est trouvé nez à nez avec les restes de San Martin, héros national des luttes d'indépendance latinoaméricaines.

On a trouvé Martin Fierro !

Premier jour à Buenos Aires : On est tombé sur la Casa Rosada. Comme c'était ouvert, on est rentré et on a visité... Le salon bleu d'apparat, la salle des patriotes latinoaméricains, le bureau présidentiel et dans un escalier : Martin Fierro !

L'anniversaire de la Murga "Los inevitables de Flores"

La Murga "Los inevitables de Flores" fête ses 10 ans ce samedi 1er novembre, avec un festival de murgas dans l'amphithéatre du Parque Centenario à 19h00. Voir plus d'infos

Au fait, c'est quoi une Murga ?

Ce WE à Buenos Aires : Festival Raiz

Cette fin de semaine, dans le parc Technopolis de BA, un festival de tous les goûts... Une fête qui réunit les saveurs, les arômes, les produits, les coutumes et des rencontres avec tous les coins de l'Argentine. Une invitation à regarder, goûter et apprendre. Ca vaut le coup d'aller faire un tour !

San Antonio de Areco

Ce dimanche 9 novembre, ça va être la Fête à San Antonio de Areco : On y célèbrera la 75ème Fête de la Tradition. C'est le rendez-vous officiel des gauchos d'Argentine, symbole de leur fierté et de celle de tout le pays avec toute une série d'activités typiquement gauchescas au programme : parades de chevaux, spectacles équestres, spectacles musicaux et bals traditionnels le soir. Pour se régaler, stands d'artisanat et barbecues géants, asados et churrascos, et la parade des gauchos en habits d'apparat, accompagnés par les fanfares. Ca fait rêver, non ?

Rue San Martín...

A Buenos Aires, on va loger rue San Martín... C'est sans doute un fait historique de première importance mais en attendant que nous soyons célèbres, reconnaissons que San Martín est le héros argentin de l'indépendance !

Homme politique et militaire argentin, José de San Martín est l'un des principaux artisans de l'indépendance de plusieurs pays d'Amérique du Sud, alors possessions espagnoles. Après avoir servi dans l'armée espagnole, il rentre en Argentine en 1812 et intègre le mouvement indépendantiste. Il participe alors en 1816 à l'unification des provinces du Rio de la Plata (future Argentine). En 1817, à la tête d'une armée de 5000 hommes, il libère le Chili dont l'indépendance est proclamée le 12 février 1818. Fort de cette victoire, le Libertador marche sur Lima en 1820, en ayant sous ses ordres une armée de 4000 hommes, argentins et chiliens. Son combat aboutit à l'indépendance du Pérou le 28 juillet 1821. Nommé "protecteur" du Pérou, il gouverne alors pendant un an. En 1822 il démissionne et s'exile peu après en Europe. 

Elle a gagné ! Elle a gagné !

4 ans de plus. Et on est bien content.
C'est important pour tous les pays de la région.
C'est important pour le monde.
(Même si on sait que "peut mieux faire")
MERCI DILMA : La lutte, ça peut GAGNER !

Choripanes

L'apprentissage culinaire débute : Un camarade écrit qu'il n'y a pas de péronisme sans choripanes. Je demande : C'est quoi le choripan ? Voilà la réponse :

J'en déduis que le choripan, 

c'est l'équivalent de nos sandwich-merguez des manifs de par ici (sans le chimichurri)

A la recherche de Martín Fierro

Los hermanos sean unidos

               Que les frères soient unis

porque ésa es la ley primera,

       voilà la loi première,

tengan unión verdadera, 

                  qu'ils aient une union claire

en cualquier tiempo que sea,

         quand et où que ce soit

porque si entre ellos pelean

car à se batailler

los devoran los de ajuera.

   ils seront dévorés.

Difficile de trouver la traduction en français des aventures du gaucho "Martín Fierro" : Le livre est épuisé. De toute façon, il faudra chercher l'oeuvre de José Hernandez dans une librairie de Buenos Aires. Elle manque dans notre bibliothèque.

On va pouvoir goûter les bières...

En Argentine : La Quilmes

En Uruguay : La Mastra

Au Brésil : La Brahma 

 Au Paraguay : La Pilsen

Bon, et moi, j'aime bien les panachés !
En Colombie, on dit "refajo"... Et en Argentine ? En Uruguay ? Au Brésil ? Au Paraguay ?

La seule soupe sèche au monde

Eh oui, la "Sopa Paraguaya" n'est pas liquide du tout, c'est un plat qui va au four. Alors pourquoi s'appelle-t-elle sopa ? Il y a plusieurs théories à ce sujet. L'une d'elle explique que la sopa paraguaya est le produit du syncrétisme guaraní et espagnol : Les guaranis avait l'habitude de consommer des pâtes élaborées à partir de farine de maïz ou de manioc enveloppées dans des feuilles de guembé ou de bananier et cuisinées dans de la cendre chaude. Les espagnols ont introduit l'usage du fromage, des oeufs et du lait, ingrédients qui ont été ajoutés aux plats préparés par les guaranis. Il s'agit donc d'un biscuit spongieux salé et c'est, comme toute la cuisine paraguayenne, bien riche au niveau calorique et protéique.Voir la recette

Le rêve de voyager sur les fleuves

Naviguer sur le rio Paraguay ou sur le rio Paraná
Passer de longues heures à regarder les oiseaux
Voir les rivages défiler, les arbres, les ports
Faire la sieste dans un hamac bercé par le tangage et le bruit du moteur...

Viejos amigos

A Asunción, Manuel va partager avec nous la joie de revoir Atilio, un ami de -presque- toute la vie (plus de 40 ans, ce n'est pas la vie entière mais ça fait tout de même un bon bout de chemin).

La Guarania sur les places

Le 19 novembre, alors que nous serons à Asunción, l'orchestre symphonique de la Ville donnera un concert en plein air sur la plaza Italia... Plus d'infos

Un coup d'oeil sur les températures

Alors qu'à Paris, les sanglots longs des violons de l'automne préparent la symphonie des frimas, c'est la saison chaude qui s'annonce dans l'hémisphère austral.
En ce 24 octobre 2014, les températures sont éloquentes

• Paris : 9°mini et 17°maxi
• Buenos Aires : 20°mini et 27°maxi
• Montevideo : 18°mini et 24°maxi
• Iguazu : 21°mini et 32° maxi
• Asunción : 25°mini et 35°maxi

Quand on dit que "Notre Nord, c'est le Sud", c'est pas pour des prunes.

Rumbo a Ypacaraí

D'Iguazú à Asunción, la route passe par Ypacaraí...

Une nuit tiède, nous nous sommes rencontrés
Auprès des eaux bleues d'Ypacaraí
Tu chantais, triste, sur le chemin 
de vieilles mélodies en guaraní.

Et la magie de tes chansons  
a fait renaître ton amour en moi.
Dans la belle nuit de pleine lune,
A travers tes mains blanches j'ai senti la chaleur 
Que par tes caresses m'a donnée l'amour.

Où es-tu maintenant, cuñataí, 
Que ta chanson douce ne me parvient plus ?
Où es-tu maintenant, tout mon être t'attend
Avec frénésie.

Tout me parle de toi, mon doux amour,
Près du lac bleu d'Ypacaraí
Reviends pour toujours, mon amour t'attend,
Cuñataí.

Le barrage d'Itaipu

Située sur le fleuve Paraná, à la frontière entre le Brésil et le Paraguay, à 15km de Foz de Iguaçu, Itaipu  – « la pierre qui chante» en guarani – est la première centrale hydro-électrique au monde en termes de « quantité cumulée d’énergie produite ». Plus d'infos...

pour visiter

Ecouter le poème symphonique de Philip Glass :

Une visite au Parc des Oiseaux ?

Deviser avec un perroquet...
Caresser un toucan...
Rêver à côté des flamands...
Oui, au Parque das Aves

Envie de revoir Elen et Mauricio

C'est une joie de penser que l'on va revoir les amis.

Iguazu... Le rêve subtropical

Haute de 80 m et longue de 2 700 m sur un front basaltique enjambant la frontière entre l’Argentine et le Brésil, la cataracte en semi-cercle au cœur de ce site est l’une des plus spectaculaires du monde. Divisée en cascades multiples produisant d’immenses embruns, elle est entourée d’une forêt subtropicale humide renfermant plus de 2 000 espèces de plantes vasculaires et abritant une faune typique de la région : tapirs, fourmiliers géants, singes hurleurs, ocelots, jaguars et caïmans.
En savoir plus sur le site du Patrimoine mondial de l'Unesco.

A la recherche de Jules Supervielle

Jules Supervielle (16 janvier 1884 - 17 mai 1960) était un poète et écrivain franco-uruguayen.
Lire le bel article "Jules Supervielle, le réconciliateur" de Jean-Michel Maulpoix.
Rechercher ses oeuvres à la Bibliothèque...

Nous n'échapperons pas au Maté

L'art de boire de l'herbe
Le maté n'est pas une boisson.
Oui, bien sur. C'est un liquide et ça entre par la bouche.
Mais ce n'est pas une boisson.
Dans ce pays, personne ne prend du maté parce qu'il a soif.
C'est plutôt une coutume, comme de se gratter.
Le Mate est exactement contraire à la télévision : Il te fait parler quand tu es avec quelqu'un et il te fait penser quand tu es seul.
Quand quelqu'un arrive à la maison, la première phrase, c'est "bonjour" et la deuxième : "du maté ?".
Ca se passe comme ça dans toutes les maisons. Celles des riches et celles des pauvres.
Ca se passe comme ça entre les femmes bavardes ou primesautières
et ça se passe comme ça entre les hommes sérieux ou immatures.
Ca se passe comme ça entre les vieux des maisons de retraites et entre les ados qui étudient ou se droguent.
C'est la seule chose que partagent les parents et les enfants sans discuter ni s'engueuler.
Péronistes et radicaux boivent du maté sans poser de questions.
En été et en hiver.

A découvrir à Montevidéo

Le Quartier de Ciudad Vieja
Le Barrio de Ciudad Vieja est le quartier de la vieille ville de Montevideo. Il est considéré comme le point de départ de la construction de la ville en 1726 qui s'appelait à ce moment là San Felipe y Santiago de Montevideo. Jusqu'en 1829, la vieille ville était protégée et entourée par des murailles pour faire face à des invasions. La seule trace de ces murailles est actuellement la porte qui se trouve dans le prolongement de la calle Sarandí et la Plaza Independencia. Cette porte est un peu l’emblème de la vieille ville.

Le club Uruguay
Le Mercado del Puerto
Le Théatre Solís
La Rambla
Le Centro Gallego
Le Castillo Soneira

Au gré des jours en Uruguay...

A visiter : Le blog d'un français résidant en Uruguay http://augrsdesjours.blogspot.fr/

On ira à "Lo de Nestor"

Suki nous recommande d'aller faire un tour au bar "Lo de Nestor" qui a ouvert en septembre dernier : C'est une coopérative ouverte par le Gestara (Groupe d'Entreprises Sociales et de Travailleurs Autogérés de la République Argentine) au 548 de la rue Bolívar, dans le quartier de San Telmo.

Dans ce registre, ce serait bien aussi de passer à l'Hotel BAUEN ou à la BRUCKMAN 

Faire un tour à la Feria de San Telmo

Au fond de cet estuaire, où viennent les pétroliers
donner à la rivière, un long baiser salé

Tous les dimanche, de 10 à 17h00, à la Feria de San Telmo (Plaza Dorrego) : De quoi chiner entre antiquités, vieux trucs... Une promenade à travers la nostalgie et les souvenirs pour découvrir les styles et designs les plus variés.

Le monde selon Mafalda

La Ville de Buenos Aires présente "Le Monde selon Mafalda", une exposition qui permet de se plonger dans l'univers de ce personnage fascinant. Cette année est très particulière puisqu'on y célèbre deux anniversaires : Les 60 ans de la première publication de Quino comme dessinateur humoriste et les 50 ans de la première apparition de Mafalda, sa plus fameuse création. 

Ce sera une belle occasion de découvrir la Usina del Arte.

Du 18 septembre au 30 novembre
Entrée Libre et gratuite
Jeudi et vendredi de 10h à 18h / Samedi et dimanche de 12h à 20h
Agustín Caffarena 1, esquina avenida Pedro de Mendoza, La Boca

Spécial Chucho

Accomplir scrupuleusement le rêve de Chucho et passer "religieusement" de cafés en boliches.

Visiter le centro cultural de la cooperacion Floreal Gorini

Jaime Caicedo nous conseille d'aller faire un tour dans l'immeuble où se trouve le PLED (Programme Latinoaméricain d'Enseignement à Distance), d'aller frapper à la porte d'Atilio Borón et de visiter les étages du Centre Culturel Coopératif Floreal Gorini

Av. Corrientes 1543 (C1042AAB) 

Ciudad Autónoma de Buenos Aires -  

www.centrocultural.coop

Sur les pas d'Alcide d'Orbigny

Manuel est en train de lire "Voyage dans l'Amérique Méridionale". Il va nous guider sur les pas d'Alcide d'Orbigny.

Spécial "amoureux des ferrys"

Pour aller de Buenos Aires à Colonia del Sacramento en traversant le rio de la Plata, voir le site :
http://coloniaexpress.com/ar

Spécial "Amoureux des trains"

Visiter le site "sateliteferroviario", qui promeut et défend le train de longue distance et le transport ferroviaire en général : http://www.sateliteferroviario.com.ar/

Spécial "Amoureux des tranvias"

A Buenos Aires, depuis 1976, il y a une Association de "Amigos del Tranvia" (Amoureux des tramways) qui restaurent les vieux tacots et transportent gratuitement dans le quartier de Caballito tous ceux et toutes celles qui font gentiment la queue les samedi et dimanche.

De part et d'autres du rio de la Plata, entre deux fleuves (entre 2 rios)

Pour le moment, on envisage :

• Une arrivée le samedi 1er novembre à Buenos Aires (Argentine). On dormirait dans cet appartement pendant 6 nuits et on repartirait le vendredi 7 novembre pour

• Arriver le vendredi 7 novembre à Colonia del Sacramento (Uruguay). On dormirait à l'Hotel Romi pendant 2 nuits et on repartirait le dimanche 9 novembre pour

•  Arriver le dimanche 9 novembre à Montevideo (Uruguay). On dormirait à  l'Hotel Balfer pendant 3 nuits et on repartirait le mercredi 12 novembre pour

• Arriver le mercredi 12 novembre à Foz de Iguazú (Brésil). On dormirait à l'Hotel Lawrence pendant 5 nuits et on repartirait le lundi 17 novembre pour

• Arriver le lundi 17 novembre à Asunción (Paraguay). On dormirait chez Attilio et on repartirait le dimanche 23 novembre pour redescendre doucement sur Buenos Aires... En navigant sur le Paranà ?